Le montage financier qui aurait été mis en place par le numéro deux de la sécurité du groupe mis en examen pour escroquerie a été mis au jour par les enquêteurs. Il laisse les experts perplexes.
Si Renault a fait preuve «d'amateurisme» dans la pseudo affaire d'espionnage dont il a été victime, selon le porte-parole du gouvernement François Baroin, le présumé escroc n'aurait pas montré la plus grande adresse pour camoufler les fonds extorqués au constructeur. Les enquêteursauraient déjà mis la main sur environ 100.000 euros en Suisse et 140.000 euros à Dubaï.
Dominique Gevrey, numéro deux de la sécurité du groupe, a été mis en examen pour «escroquerie en bande organisée» et placé en détention dimanche. Il est soupçonné d'avoir fourni de fausses informations ayant conduit au licenciement de trois hauts dirigeants pour espionnage. Le responsable à la sécurité affirmait au groupe qu'il était en contact avec une source anonyme qui lui fournissait des informations moyennant finance.
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